[ABANDONNE] Flashback 。Maman。(Victoire et Xylpheir)

Maman

J’aime Maman. J’aime être contre son ventre tout doux. J’aime sentir l’odeur... sucré ? Je pense que c’est sucré. Je ne connais pas d’autre goût que celui du lait chaud de Maman. Maman dit que sucré c’est le goût des myrtilles. Elle dit aussi que lorsque on sera plus grand on ira manger des myrtilles, moi et mon frère. Mais pourquoi on ne peux pas manger les myrtilles maintenant ? Maman nous a expliqué que les myrtilles, elles étaient dehors là il y fait froid. Là où ça fait peur. Là où les ombres sortent. Je le sais. Je l’ai vu. Mais Maman ne sait pas que je suis sortie dehors. Que j’ai laissé l’Autre Victoire ici et que je suis allée dehors, que j’ai fait deux ou trois pas en dehors de la tanière. Non. Elle ne sait pas. Et tant mieux, sinon elle aurait fermé ses jolis yeux et son corps serait devenu tout mou et Mamy aurait dû la réveiller à grandes claques. Et puis moi j’aime pas quand Maman ne s’occupe plus de nous. Dès fois elle disparaît comme ça, pouf plus de Maman. Alors on se retrouve tout seule, à piauler comme des moineaux (c’est Mamy qui dit ça ) avant que Mamy Cheyanne arrive à notre secours. Elle nous raconte des histoires de là-bas, de dehors mais d’un dehors qui est très loin. Et aujourd’hui je pense encore à cette histoire de loups décorés avec des plumes. Je gigote un peu pour me loger contre le ventre chaud de maman. Mes yeux s’entrouvrent encore tout collés par le sommeil. Je suis éblouie par la lumière filtrant à travers les branches de notre tanière. Lentement j'étire mes petites pattes toutes boudinées. Mon petit museau s'agite. J’essaye de voir si Xyl s’est réveillé. J’ai envie de le voir. J’ai envie d’enfouir mon petit museau dans ses poils et d’humer son odeur. Notre odeur. Parce que si j'aime Maman, j’aime aussi mon frère.  

Maman

Xylpheir aussi aime sa maman. Serré contre elle, a moitié caché dans sa fourrure toute douce, il dort. Il ne rêve pas,et pourtant, sa petite patte remue comme si il jouait avec une balle invisible. Il ne sait pas encore si sa soeur Vicky est reveillée ou non. Il aime beaucoup sa soeur. Il aime aussi Mamy Cheyanne, même si elle est souvent grognone. Il aime les histoire qu'elle leur raconte sur les autres loups. Mais il aimerait pouvoir partir explorer aussi. Maman ne veut pas qu'ils y aille.
Alors qu'il dort encore, Xylpheir ne sait pas que sa soeur est reveillée. Il sent ses pattes gigoter contre son dos, et se reveille tranquillement. Ses yeux s'ouvrent, puis se referme rapidement, la lumière l'aveuglant momentanement. Ses pattes bouges, volontairement cette fois-ci, alors qu'il lâche un long et bruyant baillement. Il ré-ouvre mes yeux, et la petit mâle vois Vicky qui le regarde. Il lui fait un petit sourire, et hésite à se lever. C'est parce qu'il est bien, contre sa maman. A la place, il change de position, toujours collé contre le ventre beige tout chaud. Maintenant, il peut regarder Victoire sans bouger.     

Maman

Il me regarde. Je le regarde. Je sens un sourire s’étirer sur mes babines. Mes yeux pétillent. Maintenant j’ai plus du tout sommeil. J’ai envie de bouger un peu mais j’ai pas envie de réveiller Maman. Maman, elle a pas passé une bonne nuit comme disent les grands. Elle n’a pas arrêté de disparaître pour réapparaître. Et puis elle si fatiguée Maman. Je le sens. Je le sais. Je sais aussi que Xyl’ a terriblement envie de sortir. Tout comme moi. Je me lève. Mais que c’est compliqué d’utiliser les trucs bidules qui dépassent.... les pattes ils disent les grands. C’est décidément une véritable catastrophe. Je m’en mêle les pattes... Je tombe plusieurs fois avant de me résigner à reste couchée sur le ventre avec une drôle d’expression sur le visage.

Maman

Xylpheir regarde aussi Victoire, et lui retourne son petit sourire. Il sait ce qu'elle veut. Sortir, explorer. Lui aussi veut la même chose. Il jete un petit coup d'oeil vers Maman. Elle dort encore. Elle n'a pas arrêté de disparaitre cette nuit. Xyl' a peur quand elle est pas là avec eux. Mais maintenant, il ne veut pas la reveiller. Il veut seulemen aller dehors avec sa soeur. Il la regarde se lever, et essayer de faire quelques pas, sans grand succès. Xylpheir laisse échapper un petit rire, ressemblant plus a un gémissement qu'à un rire. Il se lève a son tour. Ça paraissait plus facile couché par terre. Ses petites pattes tremblent alors qu'il essaye d'avancer. Il manque de tomber plusieurs fois, mais il arrive finalement à garder son équilibre. Le petit loup s,approche de sa soeur... et tombe a peine arrivé. Ça fait mal tomber.      

Maman

Je souffle bruyamment par le nez, mi rire mi soupire. Ça va être compliqué d’aller dehors. Du moins avec Xyl. Parce que moi j’ai pas besoin de ces pattes toutes boudinées ! L’Autre Victoire ne sert pas à grand chose ! Elle ne sait ni marcher ni parler. Je préfère Victoire, elle, elle marche. Elle explore même ! Mais je sais que si je laisse l’Autre Victoire, Maman va s'inquiéter et moi je ne veux pas que Maman s’inquiète !
Je pose ma petite tête sur mes pattes et observe de mes grands yeux roses mon frère. Je dodeline de la tête, cherchant à comprendre ce qu’il aimerait faire. Il ressemble à Papa. Avec ses couleurs. Moi je ressemble à Maman. Du moins je crois.

Maman

Xylpheir regarde sa soeur, alors que celle-ci semble rire de lui, ou de la situation. Il aimerait tellement aller dehors... Maman et Mamy Cheyanne elles y vont elle. Alors pourquoi pas eux ? Vicky' n'a pas l'air tant triste que ça.
Le petit mâle surprend le regard de sa soeur, qui le regarde lui, puis elle, puis encore lui. Il décide de faire la même chose. Ils sont frères et soeurs, et pourtant, ils ne se ressemblent pas vraiment. Vicky' ressemble beaucoup a maman, mais pas lui. Il tient sûrement de son papa, qu'il n'a jamais vu.

Finalement, Xylpheir décide de réessayer. Il se relève péniblement, essayant cette fois-ci de mettre tout son poids sur ses pattes avant. Mauvaise idée; le petit tombe encore un fois à terre après avoir fait une roulade sur sa tête. Là, il pousse un gémissement plaintif, les yeux remplis de larmes. Ça fait très mal les roulades.        

Maman

J’ouvre de grands yeux, terrifiée par la roulade de mon frère. Un petit gémissement m'échappe, j’ai peur. Il gémit aussi plus plaintif que moi. Je jette un coup d’oeil à Maman. Elle a ouvert sec ses beaux yeux. J’aime ses yeux, ils sont rassurants. Bien que là, une lueur inquiète y flotte. Maman me regarde, constate que je n’ai rien alors elle cherche des yeux Xyl. Elle le prend délicatement dans sa gueule pour l’amener entre ses pattes. Puis elle le lèche sur la tête. Mais moi aussi je veux qu’on s’occupe de moi ! Je pousse des petits cris indignés. Maman tourne sa jolie tête vers moi avant de se tourner et de me laisser à porté de bouche le lait chaud et sucré que j’aime tant. Ce n’est pas ce que je voulais mais tant pis. J’ai faim. Alors je m’accroche à une de ses mamelles et commence à téter. C’est frustrant... rien ne vient. Je donne quelques coups de tête et là comme par magie le lait afflue dans ma petite bouche. C’est trop bon.  

Maman

Xylpheir continue à gémir, plus de peur que de mal. Il entend sa soeur commencer à gemir elle aussi, à quelques centimètre de lui. Puis, il se sent soulevé dans les airs, et atterit entre les pattes de maman. Quand elle commence à lui lécher la tête, il se sent déjà mieux. La découverte de l'exterieur pourr attendre, les pattes réconfortantes de maman sont beaucoup plus acceuillantes. En entendant les petits cris de Vicky', le petit mâle lève la tête, et la regarde. Il comprend ce qu'elle veut, de l'attention. Mais lui, il aime bien que maman s'occupe de lui. maman se tasse un peu, et Vicky' part têter. Xyl' lui, n'a pas faim, il se contente de poser sa tête sur la grosse patte de maman, et de fermer les yeux. Son odeur le rassure.        

Maman

Je tète avidement, me rendant compte que j’ai terriblement faim. Mon petit estomac se remplit avec délice. Je ferme les yeux, désormais épuisée par les événements. Parce que c’est éprouvant tout ça pour un bébé. J'arrête peu à peu de téter, mon ventre est maintenant bien rempli et tout rond.Je me roule en boule contre Maman et je sens que la fatigue des émotions me prend pour m’emporter dans son monde étrange des rêves.

Maman

Xylpheir sent son corps tout entier se détendre alors qu'il se tasse toujours plus dans les poils de Maman. Son esprit ne pense plus qu'à dormir. Il n'a plus envie d'explorer, et puis, le monde ne disparaitra pas comme ça, du jour au lendemain, il pourra explorer plus tard. Le petit mâle brun regarde d'un oeil endormi sa petite soeur, qui semble déjà sur la voie du sommeil. Xyl' décide de faire pareil, et se laisse aller petit à petit. Ses sens s'engourdissent les un après les autres. Il ne pense plus à son "accident", plus rien ne compte maintenant. Seule la présence réconfortante de sa famille, proche de lui compte. Et c'est dans cette mentalité que le petit Sibling s'endort.

Maman

**Élispe**

J’ouvre un œil puis l’autre. J’ai bien dormi. Maintenant j’ai vraiment envie de sortir. D’aller dehors, là où les ombres sortent. Maman, elle n’a pas d’ombre comme les autres. Elle ne fait pas peur Maman. Mais les ombres si. Celles qui bougent font peur. Celles qui griffent aussi. J’aime pas les ombres. Elles vous lorgenent avec des yeux méchants, attachées comme des prisonniers à leur propriétaire. Ce sont des fantômes qui hantent les gens. Mamy Cheyanne pourrait peut-être me dire ce que c’est ces ombres. Parce que j’ai envie de savoir. Mais ici personne ne m'écoute. Sauf Xylpheir.

Maman

Xylpheir sent son corps de réveiller doucement après une bonne sieste entre les pattes de Maman. La lumière est beaucoup plus forte maintenant, du moins, c'est ce que pense le petit loup. Il ouvre lentement les yeux, et remue sa patte d'un mouvement involontaire. Il sent sa Maman bouger un peu, et arrête tout de suite ses mouvements. Il ne veut pas la réveiller, elle qui met tant de temps à s'endormir. Doucement, très lentement, le mâle brun levé sa tête, et tenté d'apercevoir Vicky par dessus les grosse pattes de Mary. Il la regarde alors quelle meme le fixe de ses beaux yeux roses. Ils ont la même idée en tête, réessayer de sortir. Toujours doucement, Xyl se lève, et échappe maladroitement des pattes de Maman. Il titube un peu, mais réussit finalement à faire quelques pas vers sa soeur. Le Sibling lui sourit, et lui fait signe d'essayer de se lever elle aussi, pour qu'ils puissent aller dehors.    

Maman

Je me lève doucement sur des pattes tremblantes. Mais ça marche ! Sans mauvais jeux de mot. J’arrive à faire quelque pas et sort la première de la tanière. Je regarde un coup à droite un coup à gauche avant de filer le plus vite possible que me permettent mes petites pattes pas très solides sous un buisson. Cachée aux yeux des grands, j'encourage mon frère à venir.
Je suis dehors. Et les ombres ne sont pas là. Elles peuvent donc pas me faire peur. Elles sont jamais là avec l’Autre Victoire.

Maman

Xylpheir regarde sa soeur alors qu'elle se lève lentement à son tour. Il s'approche un peu, il ne veut pas qu'elle tombe et se fasse mal comme lui l'avait fait plus tôt dans la journée. Mais non, elle y arrive, et commence même à marcher vers la sortie. Le petit mâle la suit, mais il s'arrête à l''entrée. Il ne sais pas ce qu'il y a dehors, et il commence a avoir un peu peur de le découvrir. Peut être y a t-il des monstres comme dans ses cauchemards...
Mais non, tout semble aller bien, du moins, pour sa soeur. Vicky a foncé dans un espèce de gros tas de vert. Il ne la voit presque plus. Mais il prends sur lui, l'enve d'explorer a remplacé toute sa peur, et il fonce lui aussi dans le gros tas de vert. Là, une multitudes de nouvelles odeur fait son apparition. Le petit mâle brun éternue doucement, puis pose une patte sur son museau, esperant que personne ne l'ai entendu.
Enfin, il se retourne vers sa soeur, un sourire radieux sur les babines. Ils ont réussi !!      

Maman

La petite tourna sa petite bouille vers le loup qui osait interrompre leur fuite vers le monde de dehors. Ses petits sourcils se froncèrent, visiblement mécontente. Sa petite gueule s’ouvrit et ,pour la première fois, elle aligna quelques mots.

Maman dort.

Debout sur ses petites pattes, elle lui lança un regard plein de défi, signifiant clairement que si tu me ramène je hurle. Son petit caractère sortait. Les sentiments se battaient dans sa petite tête. Elle allait bientôt apprendre à les gérer. Mais la frustration et les crises de colères sentaient à plein nez. La petite calme et gentille était toujours là mais elle était en proie à des émotions inconnues et impossible à gérer. Alors il fallait que ça sorte. Et son trait d’arrogance n’allait pas aider... Le bébé sage n'était plus vraiment.

Et puis ce loup lui donnait envie de se révolter. De le tester. De faire tout ce qu’elle n’osait pas avec Maman. Maman était trop... instable pour ne pas être sûre de ne rien se ramasser en pleine figure. Alors autant ne pas tenter le diable. Et puis Maman était gentille. Victoire n’avait pas envie de faire tourner en bourrique sa mère. Pas pour l’instant. Ce loup était plus intéressant. Parce qu’au fond elle savait qui cétait. Son père.

// C'est pas un flashback ce RP ?

Je viens de voir que non ... Pourrait-on le passer en Flash ? Car ça fait depuis avril qu'ils sont coincés dans le RP vos louveteaux, je pense qu'on peut le passer en flash peut être x')
Le RP avec Ragnar et Uriah se passe après ce moment [car dans le RP il est dit qu'il avait rencontré ses petits déjà]